Les islamistes n’ont pas leur place au Parlement européen
Vendredi et samedi derniers, le Parlement européen accueillait à Strasbourg l’Évènement européen de la Jeunesse (EYE), censé célébrer l’engagement civique et le débat. Ce rendez-vous a pourtant été détourné de son objectif par la présence choquante de FEMYSO, une organisation islamiste à l’agenda politique dangereux.
FEMYSO regroupe plusieurs structures de jeunesse liées de l’idéologie des Frères musulmans. Elle est explicitement mentionnée dans un rapport du ministère de l’Intérieur sur les réseaux islamistes actifs en France, et y est décrite comme un proxy des Frères musulmans, servant de vivier de formation pour leurs cadres.
Ces militants n’étaient pas là par hasard. Leur objectif est clair : s’infiltrer dans nos institutions européennes pour diffuser un discours victimaire, culpabilisateur et communautariste. Pire encore, l’Union européenne leur a déjà accordé plus de 290 000 euros de subventions.
Face à nos alertes, ces représentants islamistes se sont posés en victimes, accusant nos élus de harcèlement. C’est une stratégie bien rodée : inverser l’accusation pour faire taire toute critique légitime. Mais nous ne nous tairons pas.
La véritable trahison vient de ceux qui leur ont ouvert la porte :
- Le Parlement européen, qui les a invités, leur a offert une tribune et un stand officiel.
- Les eurodéputés socialistes, écologistes et Renaissance (le parti d’Emmanuel Macron), qui leur ont offert un soutien politique, malgré les risques et les alertes.
Ce double discours est inacceptable : on prétend lutter contre l’islamisme à Paris, mais on lui déroule le tapis rouge à Bruxelles.
Nous demandons fermement que FEMYSO ne soit plus jamais invité dans l’enceinte des institutions européennes. Les islamistes n’ont pas leur place en Europe, et encore moins dans notre Parlement.
